Face à la recrudescence des assassinats, l’ONG AHA demande à l’État de prendre ses responsabilités régaliennes.
COMMUNIQUE DE PRESSE [Réf : ONGAHA/BN/PGD/03/2022]
L’ONG Action humanitaire africaine extrêmement révoltée par la multitude d’assassinats commis ces derniers temps dans la capitale tchadienne Ndjamena. On apprend que l'une des victimes fait même partie des forces de l'ordres.
Elle présente ses condoléances aux familles endeuillée.
L’assassinat entre dans la catégorie des infractions les plus graves qualifiées de crime. Cependant ce n’est pas un crime spécifique : c’est un meurtre commis avec la circonstance aggravante de la préméditation.
Dans la phase transitoire où nous sommes, la dégradation de la situation sécuritaire est plus qu’inquiétante.
L’ONG Action Humanitaire africaine exhorte et recommande aux plus hautes autorités à prendre leur responsabilité. Il est urgent que l’État intensifie les mesures sécuritaires idoines pour pallier la recrudescence de ces crimes. Les autorités doivent impérativement garantir la sécurité des citoyens et lutter contre l’impunité criarde au Tchad.
Le Bureau de l'ONG AHA
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