L’ONG AHA espère des mesures d’urgence du HCR permettant d'abréger les souffrances des nouveaux réfugiés du Wadi-Fira.
L’ONG AHA déplore que les échos de ces violences semblent émouvoir peu de monde. Alors que les conséquences directes de ces conflits intercommunautaires, c’est une affluence accrue de réfugiés dans le Wadi-Fira au Tchad. On dénombre plus de 12.000 réfugiés depuis le début des évènements.
L’ONG Action humanitaire africaine (Aha) espère que de mesures d’urgence permettront d’abréger les souffrances de ces réfugiés ainsi que des populations hôtes qui appuient sans relâches ces nouveaux venus.
Les autorités de la région du Wadi-Fira, notamment le Gouverneur Général Adam Abdallah Tounissi s’est rendu au chevet de ces personnes vulnérables avec une aide ponctuelle (en kits wash et en vivres), beaucoup reste à faire. En effet ces nouveaux déplacés et réfugiés sont dans la détresse et la précarité la plus totale. Ils manquent de tout. Il est indispensable que l’UNHCR prenne à bras le corps ce problème urgent.