Rencontre entre l’ONG AHA et le Coordinateur Afrique de la Plateforme de Protection des Lanceurs d'Alerte en Afrique.
Nombre de rapports pointent du doigt les questions de gouvernance démocratique pour guérir la crise sécuritaire au Sahel. Nos États encore fragiles ont besoin de plus stabilité à travers des élections encadrées par l’implication de la société civile.
De passage en France pour rechercher des partenariats, le responsable de l'ONG Action humanitaire africaine (Aha), M. Mohamed Saleh Ibni Oumar a été reçu au siège de la PPLAAF, par le Coordinateur Afrique M. Gabriel B Fattal.
Cette rencontre s’inscrit dans la droite ligne d’étude des conditions de collaboration entre les deux structures.
L’esprit de ce premier contact est de rapprocher de la PPLAAF et l’ONG AHA dans le cadre d’un partenariat (exemple de formation à distance (via zoom) ou sur place à Ndjamena, où nous disposons de salles de formations équipées, ordi, vidéoprojecteurs...etc).
Particulièrement, durant les scrutins, les observateurs électoraux sont comme des lanceurs d’alertes. Leurs vies sont souvent menacées lors d’élections. Leur permettre de tirer la sonnette d’alarme et leur ouvrir un canal pour un appui juridique est crucial pour l’ONG Aha.
Déclarée en France sous la forme d'une association loi 1901 et reconnue au Tchad comme une ONG, les actions d’AHA sont centrées sur la citoyenneté et la Gouvernance démocratique. C’est une organisation qui a été accréditée par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) au Tchad pour l’observation des élections de 2021.