L’ONG AHA & l’Association Action Solidaire ont organisé un atelier autour de l’eau

22 Mars 2019, 14:28

 

L’ONG AHA et l’Association Action Solidaire (AS) ont organisé un Atelier à l’occasion de la Journée Internationale de l’Eau. Thème : « Ne laisser personne de côté ».

Date : 22 Mars 2019

Lieu : Ferme Pédagogique

Pour marquer la Journée mondiale de l’eau cette année, l’organisation AHA et ses partenaires de l’Action Solidaire ont organisé un atelier en milieu rural.

En effet, pour de se conformer au thème fort de cette année qui est : « Ne laisser personne de côté »., il fallait être du côté des couches vulnérables qui manque d’eau potable.

A travers l’atelier proposé, qui s’est tenu plus précisément à la Ferme Pédagogique de Malo, les initiateurs de l’évènement ont pu regrouper aussi bien des spécialistes que des villageois n’ayant pour la plupart pas accès à l’eau potable.

Les discutions étaient intéressantes car ce thème est une adaptation de la principale promesse du Programme de développement durable à l’horizon 2030.

L’une des cibles de l’objectif de développement durable 6 consiste à assurer, d’ici à 2030, l’accès de tous à l’eau et une gestion durable des ressources en eau. Concrètement, cela signifie qu’il ne faut laisser personne de côté.

À l’heure actuelle, des milliards de personnes ne disposent toujours pas d’eau potable – chez elles, à l’école, à la ferme, à l’usine, etc. – et luttent pour survivre et se développer.

Les groupes marginalisés - femmes, enfants, réfugiés, peuples autochtones, personnes handicapées et beaucoup d'autres - sont souvent négligés et font parfois l'objet de discrimination quand ils tentent d'accéder à l'eau potable dont ils ont besoin et de la gérer.

Afin que personne ne soit « laissé de côté », nous devons concentrer nos efforts pour intégrer les personnes qui ont été marginalisées ou négligées. Les services d'approvisionnement en eau doivent répondre à leurs besoins et il faut tenir compte de leur existence dans les processus décisionnels. Le droit à l'eau doit être reconnu comme un droit universel dans les cadres juridiques et réglementaires et il est capital d'allouer de manière juste et efficace des ressources financières suffisantes à ceux qui en ont le plus besoin.

Taryem Véronique

ONG AHA

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